Depuis notre rencontre autour d'un gorgonzola entré en Islande en passager clandestin, je dois à Gunna, sa mère Elisabeth et son mari Gimmi une bonne partie des découvertes qui m'ont fait aimer (beaucoup) et comprendre (pas trop mal) ce pays.
Merci également à Anna N., retournée depuis en Suède, avec laquelle j'ai vécu ma première expérience de bénévole pour le très sympathique Reykjavik International Film Festival.
Et enfin, un merci toujours renouvelé à Ingvar, le patron du meilleur - selon moi - magasin de disques de la ville (qui en compte beaucoup de très bons), Lucky records, dont les avis, conseils et contacts sont toujours très précieux.