Libération, 26 mai 2020, par Charline Lecarpentier
Entre douceur folk et délicatesse électronique, l’Islandaise Jófrídur Akadóttir sort un second album en anglais enregistré à New York.
Jófrídur Akadóttir n'avait que 22 ans quand sa plus célèbre compatriote, Björk, la cita dans un article du Guardian comme l'une de ses inspirations, plébiscitant son groupe électronique Samaris, son écriture en solo et «son authentique communauté d'amis» à Reykjavik. Dans la micro-capitale islandaise, les probabilités de se cogner à un musicien sont bien plus élevées qu'ailleurs. Et celles de rencontrer JFDR plus encore : omniprésente dans moult projets locaux, elle est devenue dès ses 14 ans une favorite islandaise à la faveur du duo indie rock Pascal Pinon, fondé avec sa sœur jumelle, Asthildur.
Photo Hélène Tourbine